Phnom Penh une Femme tuée par la police et plusieurs blessés 12/11/2013

Eng Sokhom tué par la police 12/11/2013

Phnom Penh 12 novembre  2013 Violent entre la police et grévistes, Au moins une femme agé de 49 ans elle s’appelle Eng Sokhom (អេង សុខុម) est décédée lorsque la police a ouvert le feu à balles réelles au milieu des émeutes intense dans la capitale de Phnom Penh dans le quartier de Stung Meanchey, ce matin, au cours de ce qui a commencé comme un mars de travailleurs du textile en grève qui tentaient de gagner la maison du premier ministre.

Des centaines d’employés de SL Textile Processing (Cambodge) Ltd font leur chemin à partir de l’usine district Meanchey ont été accueillis par la police anti-émeute et des camions de pompiers près du pont de Stung Meanchey – le site d’un incendie similaire le jour des élections en Juillet.

L’mars a été prévu pour commémorer l’anniversaire de trois mois d’environ 5.000 travailleurs en grève à SL.

À environ 9:30 heures du matin, un homme – dont le Post n’a pas confirmé un représentant de la Coalition des Cambodian Apparel Workers Union démocratique (C.CAWDU) – a donné l’ordre au cours d’une corne de taureau, à quel point lui et plus de 100 manifestants se précipita à la police.

Un nombre croissant de manifestants ont lancé des roches et de briques à la police, ils ont tiré des canons à eau dans la foule en réponse.

La police se retirèrent de l’autre côté du pont, faisant au moins trois officiers derrière dans le complexe de Stung Meanchey pagode. L’un a été vu s’enfuyant de son camion de police alors que les manifestants encerclés et bombardés avec des cailloux, tandis que les deux autres ont trouvé refuge dans un bâtiment pagode.

Comme manifestants roulait la voiture de police abandonné dans la rue, tournant et y mettre le feu, une foule s’est rassemblée devant le bâtiment qui avaient policiers retranchés à l’intérieur.

Les moines, qui avaient initialement gardé manifestants jetant des pierres sur le bâtiment, ont finalement échoué. Fonctionnaires maintien de la paix des Nations Unies sont entrés dans le petit bâtiment, où les deux dirigeants se cachaient à l’intérieur d’une petite pièce fermée après que des manifestants leur dépouillés de leurs boucliers, de matraques et de gilets pare-balles.

À propos de 10h30, la police s’avança sur le pont, le tir de gaz lacrymogène, des balles en caoutchouc et des balles réelles dans la foule des centaines.

Vong Voleak, 23 ans, a pleuré en face de la pagode après l’assaut. Sa mère, Eng Sokhom, 49 ans, est mort d’une blessure par balle, elle dit.

À l’Hôpital de l’amitié khméro-soviétique, où Sokhom a été précipité, son mari a confirmé qu’elle était morte.

Alors que le nombre total de personnes blessées par des coups de feu n’est toujours pas confirmée, un journaliste du Post à l’hôpital a montré une radiographie montrant une balle logée à l’intérieur de l’un des blessés amenés de la scène de l’émeute. Le personnel hospitalier a dit qu’ils devaient s’occuper de leurs trois victimes de tir à leur installation.

Toak Tin, un moine à l’Meanchey pagode Treng, a déclaré au Post qu’il a personnellement été témoin coup au moins deux hommes, l’un au-dessus de la hanche et l’autre dans la partie supérieure de la cuisse. Les deux hommes ont également été transporté à l’hôpital, at-il ajouté.

Au moins six hommes ont été arrêtés à l’intérieur de la pagode, et deux ont été fortement frappé par la police comme ils ont été traînés hors.
Vers midi, les manifestants se sont dispersés et le trafic est allé comme si de rien n’était.

Municipal de Phnom Penh commissaire de police le lieutenant-général Choun Sovann a refusé de commenter combien de personnes ont été blessées ou arrêtées.

Après l’émeute, Kong Athit, vice-président de l ‘C.CAWDU, a dénoncé la réaction de la police à ce qu’il a dit, était censé être une paisible mars.

«Nous sommes très mécontents à ce sujet, parce que la façon dont la police a répondu, il n’est pas responsable, ce n’est pas professionnel … ils ont utilisé de vraies armes, « Athit, qui n’était pas à l’émeute, a déclaré dans un entretien téléphonique. «Nous pouvons marcher là où nous voulons aller pacifiquement et où nous voulons aller … pourquoi la police ne nous attaquent? «